La mégalomanie du chef

  

 

 

         Tout grand régime totalitaire avait un objectif, un but. Ce but souvent ambitieux devait être incarner par le chef. Hitler dans le régime nazi était vu par la population de l'époque comme "LE guide", c'était le Fürheur. Il avait comme projet de construire l'espace vitale de l'Allemagne pour le peuple "Aryen" ce qui engendrerais conquête et plus tard génocide. Ce projet tellement ambitieux, a sucité en Hitler une mégalomanie, sont but était: toujours plus. il était sans cesse en quete de puissance et de gloire. Il a d'abord commancé par annexer des territoires comme ceux de l'Autriche en 1938 . Il a également pris la partie Ouest de la Pologne suite au pacte Germano-Soviétique signé en 1939 qui partage la Pologne entre L'Allemagne et l'URSS. A son apogée, il a réussi à dominer la quasi totalité de l'Europe de l'Ouest comme le témoigne cette carte:

Les différentes annexions, conquetes protctorats ou alliée de l'Allemagne nazie(source: https://memo.fr/media.asp?ID=2186&ArticleID=1447)

 

Il y avait donc une réelle volonté de dominé le monde chez les nazis, afin entre autre d'imposer leurs principes chez tous le monde. Cela ramène au vulgaire rêve mégalomane de dominer le monde entier. Encore une fois, c'est l'oeuvre de Chaplin qui reprend fidélement cette idée. La fameuse scène du globe a fait la répution du film Le dictateur:

 

Extrait de la scène la plus connue de l'oeuvre; Le Dictateur ( scène disponible dans l'annexe ci dessous)

 

Cette scène culte montre un dictateur jouant avec le monde comme un enfant qui vient ou qui va obtenir gain de cause grace à son caprice. Le dictateur qui quelque minute plus tod dans le même film voulait se donner l'image d'un homme fort adulte et "responsable" se retrouve dans son bureau en train de jongler avec un globe terrestre. Comment ne pas en rire?

Dans le même film cette mégalomaie s'exprime avec l'apparition d'un nouveau dictateur qui ferat de la concurence à Hynkel, il s'agit du dictateur Espagnol. C'est alors une guerre enfantine entre deux "enfants" qui cherchent à s'impresionner l'un de l'autre.

 Que cela passe par qui serat la plus haut...

.... ou alors a qui aura le plus belle armée....

 

...Voire même qui aurat raison

 

                     Trois extraits également issue du Dictateur

Une véritable critique est adressée envers l'ambition des dictateurs ainsi qu'a leurs volonté de donner une image forte: celle du protecteur, du sauveur comme le faisait ces images de propagandes:

          Affiche de propagande nazi non datée

 

 Le fait de représenter le chef non plus avec son coté charismatqiue mais avec son coté immature attribu donc un ton humouristique

 

    L'un des autres aspects de cette mégalomanie est la volonté du dictateur de voire tous qui lui est soumis. Cet aspect beaucoup plus présent dans les oeuvres, reprend la volonté d'Hitler d'éliminer toute opposition. Rien ne devait le contredire ou alors l'empecher de faire ce qu'il désir. C'est pour cette raison qu'il a ouvrert des camps de concentration dès 1933 pour enfermer les opposants politiques (mais aussi les associaux puis plus tard les Juifs). L'un des exemple type de camps enfermant des opposants politique fut celui de Buchenwald créer en juillet 1937. Ce camps a acceuilli de nombreux communiste ou résistants au régimes nazi ( dont des personnes comme Jorge Semprun ou Stéphane Hessel qui témoigne aujourd'hui de ces camps).

 

Entrée du camps de Bunchenwald (source: https://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/lieux-dep/buchenwald.htm )

On retrouve la volonté d'écraser toute résistance dans tout les fonctionnements totalitaire (c'est l'une des caractéristiques majeures).Ce désire exesif de puissance s'eprime aussi dans La vie est belle au travers du reponsable nazi qui énnonce les règles de vie du camps. Roberto Benini en proposat une fausse traduction permet de faire dire à cet oficier tout ce qu'il veut:

                 Scène de La vie est belle (scène complète en annexe)

Il propose alors un nouveau regard sur ce que pourrait dire le nazi. "Nous on joue le rôle des très très méchants qui aboient sans arrêt et qui donnent des ordres en hurlant". Cette phrase  dénnonce la vérité: un volonté démesuré de puissance et de domination. Dès lors, le spectateur voit le responsable nazi non plus comme un personnage terrifiants mais plutot comme un chien stupide qui ne fait qu'aboyer qui veut être le plus puissant

     

    Le Dictateur, critique encore une fois cette mégalomanie, au travers de la volonté de ne plus avoir de résictance, il montre le dictateur qui s'enerve sur tout et n'importe quoi simplement car cela ne se passe pas comme il le veut. En quelque sorte, il ne vaut mieu pas être sur le chemin du dictateur lorsque la chance ne troune pas pour lui tellement il veut tous dominer. C'est la cas dans ce film lorsqu'un haut gradé nazi provoque involontairement la chute d'Hynkel.

 

Extrait du Dictateur, Hynkel en colère enlève les décoration de cet homme.

Se retrouvant ridiculisé, le dictateur ridiculise alors son haut gradé afin en lui retirant toute ces médailles de retrouver ce besoin de se sentir le plus fort. Cette altérnance des personnages ridiculisés fait ainsi rire car au final elle décridibilise tout le pouvoir et la notoriété qu'a pu obtenir le chef qui en a éxagerelent besoin pour sa propre personne mégalomane.

Afin de critiquer cette mégalomanie, Charle Chaplin va même jusqu'a imaginer le chef s'énerver contre des objet ( des plumes à encre).

 

Sous le regard intrigué de l'une de ses secretaires, le dictateurs s'ènerve violement contre une plume qui refusent de se soumettre à lui car elle ne s'enlève pas correctement du porte plume. Grands gestes et violents mots en Allemand comme dans ces discours le dictateur est énerver.

 

Réalité ou exagération?  Nous ne savons pas si Hitler allais jusque là bien que cela soit probable dans la mesure où de nombreux historiens confirment qu'Hitler était une personne Shizophrène. Quoiqu'il en soit, cette scène marquée par l'humour relate bien la personalité d'Hitler: marqué par l'envie excecive de tout dominer, d'avoir les pleins pouvoirs et d'être aimé de tous. Bien plus qu'une ambiton c'était une maladie qui hantait le guide des nazis.

 

Annexe: